Je reviens donc en arrière, j'ai perdu internet en quittant Calgary dimanche matin.
Calgary, un
dimanche matin, c’est mort de chez mort. La banlieue n’en finit pas, ici ce qui
manque le moins, c’est l’espace. Sur l’autoroute, presque pas de trafic. C’est
la prairie à perdre de vue. Des cultures, des vaches brunes ou noires, des
chevaux, des ranchs immenses dont on ne voit que l’entrée, jamais les
bâtiments. De petites usines – transformation de viande, machines agricoles, trailers… Beaucoup de vent, alors des
éoliennes par centaines. Des localités minuscules, créées par des pionniers,
c’est le Texas du Canada, sauf qu’ici c’est beaucoup plus vert qu’aux USA. Au
loin des fumées : pétrole, gaz ??? Va savoir.
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